Florence, novembre, 1348. Chère Anne, Je prends une pause dans ma cérébrale goinfrerie pour vous écrire cette dernière lettre (nonobstant mon envie criante de vous envoyer un jet de sperme sur un tas de merde) parce que je sais vivre. J’engraisse à vue d’œil, ne vous en faitespas pour moi, les propriétés nutritives du cerveau … Lire la suite
